Bonsoir à toutes et tous. Je me dois de vous donner quelques nouvelles. A part une rhino-pharyngite due, je pense, au pollen et à la pollution, je vais plutôt bien. En vérité je me sens loin, très loin d'OverBlog. Il est étrange comme les distances virtuelles peuvent se ressentir comme étant des distances géographiques réelles.

Aujourd'hui mon blog a 5 jours. L'autre sur OverBlog avait 5 ans... Les fonctionnalités d'OB n'avaient plus de secret pour moi. Par contre (malgré deux premières expériences sur Eklablog et jamais deux sans trois, ce blog est donc mon troisième blog sur Eklablog) je m'emmêle encore les pinceaux : c'est ainsi qu'en voulant organiser mes Rubriques, une erreur de manipulation a fait disparaître mon premier article et tous les commentaires associés. Je m'en suis voulu !

La Newsletter, sur Eklablog, ne fonctionne pas : voilà pourquoi vous ne recevez pas l'avis de mes publications. Quant à mon compte Twitter, il est associé à mon blog OB ; j'ouvrirai peut-être un compte associé à ce blog Eklablog (EB).

Voilà. Je crois avoir fait le tour de mes premiers (enfin pas tout à fait ;-) contacts avec Eklablog. J'apprécie la facilité et la vitesse à laquelle on publie ses articles. La fenêtre d'édition s'ouvre directement sur le blog, on n'a pas besoin d'aller dans l'administration, et toutes les fonctionnalités sont sous mes yeux, à portée de main : c'est très pratique. Et l'éditeur est très riche et très complet.

Pour mon blog à proprement parler : ce n'est pas un modèle préfabriqué. C'est moi qui ai fait la déco de A à Z. Sur Eklablog on peut personnaliser entièrement son thème.

En attendant de vous donner d'autres nouvelles je vous souhaite à toutes et tous une bonne fin de soirée. Merci pour vos visites, à très bientôt.

Si le ciel s'obscurcit / Par ton humble carreau / Tu te demandes qui / Fait la pluie le beau temps

Mais c'est peut-être toi / Dans ton âme grêlée / Tant le sort est féroce / Et forcée ton histoire

Qui détient le pouvoir / A l'instar des sorciers / De commander aux pluies / Au roc et à l'écorce

Tu n'es pas Dieu pourtant / Loin s'en faut pauvre Alcée / Tu fais jouer tes doigts / Sur des cordes cassées

Tes plaintes dissonantes / Pâle écho du Zéphyr / Ont extrait de l'exil / Sa plus triste fragrance

Et le ciel s'obscurcit / Dans tes yeux bleu foncé / Tandis qu'un vide immense / Envahit ta pensée. [© TS 2012]